Je m’achetais de belles fausses Birkenstock et un débardeur.
Elliot faisait encore caca dans ses couches, bien plus faciles à gérer que des cacas dans le slip.
J’avais encore espoir que la maison se vende rapidement.
Je n’avais aucun souvenir de ce maudit DVD de Oui-Oui, j’ignorais tout ce cette chanson que je fredonne contre mon gré toute la journée.
Elliot dormait dans son lit à barreaux et c’était le réveil qui nous tirait du lit à 6h45 et non le poussin à 6h du matin.
Je respirais sans faire un bruit de locomotive et sans tousser.
Les ouvriers, chargés du ravalement de l’immeuble dans lequel je travaille, commençaient par le haut, le bruit des marteaux était assourdi par les 3 étages nous séparant.
Bref, il y a seulement un mois, il faisait beau…